Livre - Cosmétique solide, par Stellina Huvenne

Publié le par Ma-L

J'en avais entendu parler à la sortie, mais bon, j'étais pas du tout en mode tambouille à ce moment là.

Et puis je tombe par hasard dessus dans les rayons de ma bibliothèque, et bien sur, je m'en empare de suite.

Pourquoi c'est sympa comme idée:

Solide, comme... les savons, forcément, je suis partante. Et la cosmétique solide, c'est aussi pas ou peu de conservateurs, pas ou peu d'emballage, et une conservation assez longue.

Ce sont aussi des recettes assez simples (et basique, du coup). Ceci dit, une fois le livre dans les mains, je suis... mitigée.

Ce qui me plait dans le livre

Les photos sont superbes

Les recettes sont ultra simples

Aucune recette ne me semble aberrante. Ma sœur utilise une recette de shampoing très proche de celles du livre, j'utilise une recette de baume solide  qui ressemble comme deux gouttes d'eau à celle des barre de massage déclinée 6 version dans le livre.

La plupart des recettes utilisent les mêmes ingrédients, et aucun ingrédient n'est introuvable (bon, l'huile essentielle de verveine excepté, mais comme je l'aime depuis que j'ai eu droit à un massage ayurvédique et que je rêve de m'en offrir...)

On en fait pas des tonnes sur la nécessité de tout stériliser, ni sur la dangerosité des produit. Et ça, j'apprécie. Bon, les cosmétiques solide sont par essence beaucoup moins sensible à la contamination, et les produit utilisé sont pour la plupart assez inoffensif... sauf les HE. J'y reviens.

Ce qui me plait moins

C'est simple. Trop, en fait. La barre de massage est déclinée en 4 ou 5 parfums, avec ou sans gommage, sur la même base exactement. Idem pour le reste (shampoing solide)

Si les cosmétiques solide me semblent une super une idée, faire des masque cheveux qui nécessitent d'être fondu avant emploi, euh... comment dire. L'huile suffirait, du coup, non? Une petite réserve aussi sur les fondants de bain, parce qu'un galet de beurre de cacao à faire fondre dans la baignoire, j'ai un doute sur l’état de la baignoire ensuite.

Il y a de l'Ylang Ylang partout. Mais partout. Et j'ai horreur de ça. Bon, suffit de pas en mettre mais...

Ayant l'habitude des livres sur les cosmétique maison, j'ai l'habitude de lire des paragraphes (voire des pages) sur les précautions à tenir avec les huiles essentielles. Là, ben... rien. Ou une phrase, allez. Du coup j'hésite: c'est sympa de pas être pris pour une andouille irresponsable, mais si le lecteur n'y connait juste que dalle? Bon, une seule recette me parait nécessiter un avertissement, c'est celle du dentifrice, l'huile essentielle de menthe poivrée étant potentiellement dangereuse (encore que pas a cette dose d'usage). Bon, d'un autre côté, de ma part, c'est un peu l’hôpital qui se fout de la charité.

Les savons sont du melt and pour. Bons, je comprends bien pourquoi, hein... mais...

Pour conclure

Un livre a conseiller à un grand débutant qui à peur de se lancer, ou à un adepte du ZD qui n'a pas envie de chercher dans la jungle des recettes disponible sur le web et cosmeter avec le moins d'ingrédient possible tout en restant efficace.

Pour ceux qui connaissent un peu il est intéressant mais sans découverte, et les inconditionnels des formules sophistiqué auront passé leur chemin sans mon aide.

 

 

 

Publié dans livres

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